La force hideuse-Charles Grant
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La force hideuse-Charles Grant
Genre ; horreur
Résumé ; Donald est un jeune homme persécuté justement car il porte un nom de Canard. De plus, sa famille à maints problèmes, notamment depuis la mort du petit frère de Donald, Sam...Seul refuge du jeune homme, ses animaux en plastoc et ses posters, il parle aux animaux, comme on le ferait à un ami...pendant ce temps, un individu tue de jeunes ados, mais lorsqu'il est tué, qu'on croit enfin à la paix, un autre monstre bien plus redoutable à pris sa place et tue férocement des proies.
Avis, un roman d'épouvante oui, si le récit avait été mieux écrit, moins longuet et s'il n'y avait pas au moins 80% du roman inutile. Entre vengeance et tuerie macabre, entre folie et mystère, on comprend rapidement qui et comment tue les victimes. Il faut dire que le héros s'en prend plein la gueule, et ce, jusqu'à la fin de l'ouvrage. Entre sa mère qui le voit comme le fils mort, et son père qui hait les gosses mais est directeur du collège, être sévère qui ne veut évidemment pas que son fils soit privilégié, et évidemment avec les collègues de Donald, ce dernier n'a pas vraiment une belle vie. Un peu fou, un peu niais et naif et totalement idiot (remarquez, tel père tel fils), il est totalement antipathique dès le départ. Même s'il obtient a un moment la faveur de deux jeunes filles mais vrai et faux amour ne font pas bon ménage. De plus la mère qui trompe le mari n'aide pas et l'inverse final non plus. Pourtant le héros ne sera jamais réellement inquiété et devient même à un moment un héros. Un roman très long a lire, peu prenant au demeurant bien que l'idée de base n'était pas mauvaise. (pour ceux qui veulent le lire, ne pas lire la suite^^)Les yeux verts et les nasaux fumant du cheval sont censés faire peur, un peu comme dans les films, mais l'ambiance n'y est pas même si l'auteur fait tout, dès le départ pour la mettre. Roman raté donc. De plus fait surement exprès, le héros n'apprendra rien de ses erreurs, il continuera sur la même voix, un crétin de première ordre qui fait une sorte de finale originale toutefois, l'intérêt est vraiment minime.
Note : 7/20
Résumé ; Donald est un jeune homme persécuté justement car il porte un nom de Canard. De plus, sa famille à maints problèmes, notamment depuis la mort du petit frère de Donald, Sam...Seul refuge du jeune homme, ses animaux en plastoc et ses posters, il parle aux animaux, comme on le ferait à un ami...pendant ce temps, un individu tue de jeunes ados, mais lorsqu'il est tué, qu'on croit enfin à la paix, un autre monstre bien plus redoutable à pris sa place et tue férocement des proies.
Avis, un roman d'épouvante oui, si le récit avait été mieux écrit, moins longuet et s'il n'y avait pas au moins 80% du roman inutile. Entre vengeance et tuerie macabre, entre folie et mystère, on comprend rapidement qui et comment tue les victimes. Il faut dire que le héros s'en prend plein la gueule, et ce, jusqu'à la fin de l'ouvrage. Entre sa mère qui le voit comme le fils mort, et son père qui hait les gosses mais est directeur du collège, être sévère qui ne veut évidemment pas que son fils soit privilégié, et évidemment avec les collègues de Donald, ce dernier n'a pas vraiment une belle vie. Un peu fou, un peu niais et naif et totalement idiot (remarquez, tel père tel fils), il est totalement antipathique dès le départ. Même s'il obtient a un moment la faveur de deux jeunes filles mais vrai et faux amour ne font pas bon ménage. De plus la mère qui trompe le mari n'aide pas et l'inverse final non plus. Pourtant le héros ne sera jamais réellement inquiété et devient même à un moment un héros. Un roman très long a lire, peu prenant au demeurant bien que l'idée de base n'était pas mauvaise. (pour ceux qui veulent le lire, ne pas lire la suite^^)Les yeux verts et les nasaux fumant du cheval sont censés faire peur, un peu comme dans les films, mais l'ambiance n'y est pas même si l'auteur fait tout, dès le départ pour la mettre. Roman raté donc. De plus fait surement exprès, le héros n'apprendra rien de ses erreurs, il continuera sur la même voix, un crétin de première ordre qui fait une sorte de finale originale toutefois, l'intérêt est vraiment minime.
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