Vision Aveugle de Peter Watts
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Vision Aveugle de Peter Watts
Il va sans dire qu'il est rare que je lise de la SF...(généralement plutôt de l'anticipation), mais voila j'ai décidé de retenter ma chance après être aller a la fnac où deux livres ont été sélectionnés. Artemis et...Vision Aveugle.
Vision Aveugle donc pour commencer, est assez étrange et je comprends pourquoi l'auteur en sa préface à dit que ce livre était un peu particulier, qu'on pouvait l'aimer ou pas. Vous me direz normal? Oui mais c'est encore plus complexe que cela puisque se livre à déjà eu du mal à se faire publier et si ce fut le cas en fort petit format, et qu'à l'instar des Hordes du Hurlevent, et bien c'est principalement le bouche à oreille qui en fera sa survie, sa vie...
Déjà, commençons par l'histoire. 2082; contact avec d'étranges lumières nommées Lucioles. Soit. Un roman de Sf dans la catégorie rencontre du troisième type.
Nos héros ensuite, tous particuliers car tous plus ou moins mécanisés, androidisés, trafiquotés, etc etc, en gros, chacun des cinq protagonistes principaux ont leur propre talent au service de ce qui sera la rencontre du millénaire. Et comme commandant, ce cinquième homme est un...VAmpire...Le narrateur est une sorte d'observateur, placé là pour un rapport à la Terre, qui analyse sans analyser, et n'est pas sensé prendre des initiatives, sans émotion également puisque lié à un trauma d'enfance...que l'on verra via flash back...
Et nous voila dans une aventure de l'espace qui nous plongera dans le premier contact d'une race bizarre, avec exploration au programme qui, évidemment, ne seront pas très bien vues (je ne spoilerai pas mais c'est souvent le même processus qui arrive en ce genre d'histoire) avec de gros, très gros désagréments pour nos héros jusqu' la fin en apothéose.
Je pense donc que si ce livre à été mal aimé c'est surtout pour les termes complexes, entre inventions des mots et des sujets mais aussi vérités vraies plus ou moins méconnues, tirées de véritables recherches de la part de Watts (et l'on verra plus tard le pourquoi du comment et toutes ces sacrées foutues recherches qui finalement font carrément monter de plusieurs crans l'estime que j'aurai finalement de cet ouvrage); il suffira de lire tous les articles et livres lus , en anglais évidemment, qui nous plongent non seulement dans un roman de SF mais également nous posent des questions sur la conscience, l'intelligence, le moi et tout un tas de sujets...
Et si ce tas de sujets peut être indigestes, il y a un autre côté, vif, fluide, avec l'ambiance tendue '(bien que je pense qu'elle aurait pu être meilleure et bien plus profonde et angoissante) qui lui va faire en sorte que le lecteur aime...
Et des deux, en effet après une brève hésitation, de brèves suspicions, surtout après la préface de l'écrivain, en me disant il se la pète un peu, et bien je dois reconnaître que passés quelques détails assez chiants pour l'esprit mais non pour la lecture, ce roman fut plutôt excellent et à lire jusqu'au bout, bout bout...et oui même après l'annexe de notre écrivain sur ses recherches.
Du coup, généralement un livre lu ou plutôt un roman lu= descente dans le Sud à la maison de campagne, celui-là ira dans les étagères restant donc à Paris (pour dire^^).
Ok ça fait longtemps que je n'avais plus lu de SF mais au moins la reprise fut heureuse (lu en un jour^^)
Vision Aveugle donc pour commencer, est assez étrange et je comprends pourquoi l'auteur en sa préface à dit que ce livre était un peu particulier, qu'on pouvait l'aimer ou pas. Vous me direz normal? Oui mais c'est encore plus complexe que cela puisque se livre à déjà eu du mal à se faire publier et si ce fut le cas en fort petit format, et qu'à l'instar des Hordes du Hurlevent, et bien c'est principalement le bouche à oreille qui en fera sa survie, sa vie...
Déjà, commençons par l'histoire. 2082; contact avec d'étranges lumières nommées Lucioles. Soit. Un roman de Sf dans la catégorie rencontre du troisième type.
Nos héros ensuite, tous particuliers car tous plus ou moins mécanisés, androidisés, trafiquotés, etc etc, en gros, chacun des cinq protagonistes principaux ont leur propre talent au service de ce qui sera la rencontre du millénaire. Et comme commandant, ce cinquième homme est un...VAmpire...Le narrateur est une sorte d'observateur, placé là pour un rapport à la Terre, qui analyse sans analyser, et n'est pas sensé prendre des initiatives, sans émotion également puisque lié à un trauma d'enfance...que l'on verra via flash back...
Et nous voila dans une aventure de l'espace qui nous plongera dans le premier contact d'une race bizarre, avec exploration au programme qui, évidemment, ne seront pas très bien vues (je ne spoilerai pas mais c'est souvent le même processus qui arrive en ce genre d'histoire) avec de gros, très gros désagréments pour nos héros jusqu' la fin en apothéose.
Je pense donc que si ce livre à été mal aimé c'est surtout pour les termes complexes, entre inventions des mots et des sujets mais aussi vérités vraies plus ou moins méconnues, tirées de véritables recherches de la part de Watts (et l'on verra plus tard le pourquoi du comment et toutes ces sacrées foutues recherches qui finalement font carrément monter de plusieurs crans l'estime que j'aurai finalement de cet ouvrage); il suffira de lire tous les articles et livres lus , en anglais évidemment, qui nous plongent non seulement dans un roman de SF mais également nous posent des questions sur la conscience, l'intelligence, le moi et tout un tas de sujets...
Et si ce tas de sujets peut être indigestes, il y a un autre côté, vif, fluide, avec l'ambiance tendue '(bien que je pense qu'elle aurait pu être meilleure et bien plus profonde et angoissante) qui lui va faire en sorte que le lecteur aime...
Et des deux, en effet après une brève hésitation, de brèves suspicions, surtout après la préface de l'écrivain, en me disant il se la pète un peu, et bien je dois reconnaître que passés quelques détails assez chiants pour l'esprit mais non pour la lecture, ce roman fut plutôt excellent et à lire jusqu'au bout, bout bout...et oui même après l'annexe de notre écrivain sur ses recherches.
Du coup, généralement un livre lu ou plutôt un roman lu= descente dans le Sud à la maison de campagne, celui-là ira dans les étagères restant donc à Paris (pour dire^^).
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