Route 666 de Roger Zelazny
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Route 666 de Roger Zelazny
Genre; road movie post apocalyptique
Résumé;"Hell Tannel est un enfoiré de première, un Hell's Angel qui n'a jamais eu le moindre respect pour la vie humaine, la loi et l'ordre. Mais dans un monde broyé par les épidémies, où des rocs tombent du ciel, où les chauves-souris sont de la taille d'un Boeing et le compteur Geiger dans le rouge, Tanner est la dernière chance de la ville de Boston. À la tête d'un convoi de véhicules blindés, équipés de roquettes et autres canons, il va devoir traverser le pays, de la Californie à la Nouvelle-Angleterre, en suivant la route 666, la route de l'enfer sur terre. "(4eme de couverture)
Avis;Non prévu dans ma liste de lecture de décembre, Route 666 a été emprunté à mon cousin (qui aime beaucoup Zelazny) d'autant qu'il est court, et par curiosité, il fallait que je me lance. L'histoire de la guerre en soi ne sera révélée qu'en final, du coup on se retrouve plongé dans l'univers motard-cuir-folie road trip du dernier Hell's Angels poursuivit par des nuées de flics...Un homme sans foi ni loi, sans piété sans état d'âme, qui va devenir héros malgré lui car pas le choix...bon jusque là pas grand chose à dire si ce n'est que le personnage est trop accentué pour être finalement crédible. Ensuite, le départ pour Boston en un convoi (3voitures), traversant des zones bouleversées à mort afin d'apporter de sérum aux pestiférés. Il va sans dire que les bagnoles sont à la pointe de la technologie (armes, munitions, bouffes, cigarettes, salle de bain, la totale, sisi), et que, évidemment, sans trop spoiler il n'y en aura plus qu'un de bolide celui de notre héros...malgré tout, l'auteur va se planter dans ses chiffres. Il y arrive avec 3...trois moins 1=2...2-le véhicule de tête =41...Donc quand un convoi reprend la route suivis par LES AUTRES VEHICULES...erreur...grossière mais bon. C'est aussi de temps en temps l'apparition de personnages dans ce monde ravagé. Autant on penserait qu'il y aurait des causes à effet, qu'ils réapparaîtraient a un moment ou à un autre mais en réalité, si peu...c'est donc énormément de longues descriptions...tantôt médiocres tantôt magnifiques...avec de temps à autre brin de moralité...etc etc...et évidemment l'éternel road trip post apocalyptique ne peut se faire sans les dangers inhérents à ce genre de situation.
Clichés certes mais bon faut bien mettre de l'action. Si les éternels salopards profitant de la dégénérescence humaine en profite pour piller, taxer violer, ça c'est la nature humaine...heureusement, vient à point nos monstres. Sans être inventés, au moins, ils ont de la gueule. Des chauves souris géantes donc tout comme des serpents monstrueux, mais également les éléments de décors et autres terrains radioactifs. Hélas le côté survival disparait car on aimerait rencontrer plus de débris épars, des maisons.villages vides, des véhicules accidentaient, plus de monstres mais non.
Note héros traverse tout cela sans coup férir...non sans mal toutefois ...mais la fin...la fin tombe comme un cheveu sur la soupe. Alors oui, y a une fin. Mais bon. Du style; Ok l'histoire principal de la traversée est finie, la conclusion en vingt lignes à tout casser (et encore) pour dire ce que le héros va devenir. Genre le mec arrive bam hop tu es un héros hop fini, hop adieu. Tout ça pour ça...c'est un brin décevant je m'attendais à une meilleure finalité. Plus poussée en tout cas.
Y a donc du bon et du moins bon mais ce road trip ne m'a pas fait tripé...ça se laisse lire sans plus.
Il me semblait que je comptais dire autre chose dessus mais...tant pis...
Note; 13/20
Résumé;"Hell Tannel est un enfoiré de première, un Hell's Angel qui n'a jamais eu le moindre respect pour la vie humaine, la loi et l'ordre. Mais dans un monde broyé par les épidémies, où des rocs tombent du ciel, où les chauves-souris sont de la taille d'un Boeing et le compteur Geiger dans le rouge, Tanner est la dernière chance de la ville de Boston. À la tête d'un convoi de véhicules blindés, équipés de roquettes et autres canons, il va devoir traverser le pays, de la Californie à la Nouvelle-Angleterre, en suivant la route 666, la route de l'enfer sur terre. "(4eme de couverture)
Avis;Non prévu dans ma liste de lecture de décembre, Route 666 a été emprunté à mon cousin (qui aime beaucoup Zelazny) d'autant qu'il est court, et par curiosité, il fallait que je me lance. L'histoire de la guerre en soi ne sera révélée qu'en final, du coup on se retrouve plongé dans l'univers motard-cuir-folie road trip du dernier Hell's Angels poursuivit par des nuées de flics...Un homme sans foi ni loi, sans piété sans état d'âme, qui va devenir héros malgré lui car pas le choix...bon jusque là pas grand chose à dire si ce n'est que le personnage est trop accentué pour être finalement crédible. Ensuite, le départ pour Boston en un convoi (3voitures), traversant des zones bouleversées à mort afin d'apporter de sérum aux pestiférés. Il va sans dire que les bagnoles sont à la pointe de la technologie (armes, munitions, bouffes, cigarettes, salle de bain, la totale, sisi), et que, évidemment, sans trop spoiler il n'y en aura plus qu'un de bolide celui de notre héros...malgré tout, l'auteur va se planter dans ses chiffres. Il y arrive avec 3...trois moins 1=2...2-le véhicule de tête =41...Donc quand un convoi reprend la route suivis par LES AUTRES VEHICULES...erreur...grossière mais bon. C'est aussi de temps en temps l'apparition de personnages dans ce monde ravagé. Autant on penserait qu'il y aurait des causes à effet, qu'ils réapparaîtraient a un moment ou à un autre mais en réalité, si peu...c'est donc énormément de longues descriptions...tantôt médiocres tantôt magnifiques...avec de temps à autre brin de moralité...etc etc...et évidemment l'éternel road trip post apocalyptique ne peut se faire sans les dangers inhérents à ce genre de situation.
Clichés certes mais bon faut bien mettre de l'action. Si les éternels salopards profitant de la dégénérescence humaine en profite pour piller, taxer violer, ça c'est la nature humaine...heureusement, vient à point nos monstres. Sans être inventés, au moins, ils ont de la gueule. Des chauves souris géantes donc tout comme des serpents monstrueux, mais également les éléments de décors et autres terrains radioactifs. Hélas le côté survival disparait car on aimerait rencontrer plus de débris épars, des maisons.villages vides, des véhicules accidentaient, plus de monstres mais non.
Note héros traverse tout cela sans coup férir...non sans mal toutefois ...mais la fin...la fin tombe comme un cheveu sur la soupe. Alors oui, y a une fin. Mais bon. Du style; Ok l'histoire principal de la traversée est finie, la conclusion en vingt lignes à tout casser (et encore) pour dire ce que le héros va devenir. Genre le mec arrive bam hop tu es un héros hop fini, hop adieu. Tout ça pour ça...c'est un brin décevant je m'attendais à une meilleure finalité. Plus poussée en tout cas.
Y a donc du bon et du moins bon mais ce road trip ne m'a pas fait tripé...ça se laisse lire sans plus.
Il me semblait que je comptais dire autre chose dessus mais...tant pis...
Note; 13/20
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