Etrange printemps aux Glénan

Nouvelle aventure de Bannalec, du commissaire Dupin, ex parisien qui, une fois n'est aps coutume (ah si), bois tranquillement son café (d'ailleurs leitmotive très récurrent dans les récits, voir un peu trop, le mec va être diabétique a force...) lorsqu'une mauvaise nouvelle arrive; 3 cadavres échoués sur une place ni plus ni moins. Ah zut, faut enquêter et aux travers les descriptions plus ou moins bucoliques et son côté grande gueule et antipathique, (qui me fait penser a Niemans dans les Rivière Pourpres), le voila a droite et a gauche en train d'enquêter accompagné des fidèles Labat qui s'en prend assez souvent plein la poire, de Le Ber, gentil et docile toutou (pardon...collègue), et de Nolween miss secrétaire je fais tout et je sais tout. Bon dis comme ça ça fait, putain ce livre est pourri, en fait, le défaut majeur a force de descriptions de cafés et de repas (ok ça fait parti de ce pseudo roman policier guide touristique on pourrait dire la même de Anne Rice avec les Camés ) n'en demeure pas moins que ça alourdit a la longue le récit...au dela de ça, juste quand je disais (rapport a Sophie Chabanel sur le Blues du Chat), justement que ce genre de fin est rare mais commençait à se faire sentir de plus en plus... et bien c'est la même juste le nombre de cadavres et le lieu et la façon de mourir qui chante, du reste la fin est la même...
Bon un petit récit sympa malgré tout...
Quatrième volume dans au moins deux semaines, je change de genre et ça permettra de me reposer un peu de Bannalec, trop d'affilé peut aussi nuire...