La métamorphose et Dans la Colonie Pénitentiaire-Franz Kafka

Genre, Fantastique et Drame

Résumé ; La métamorphose ; un homme se retrouve subitement métamorphosé en cafard
Dans La Colonie Pénitentiaire; La description d'une machine de torture à un voyageur venu là en tant qu'invité. Si l'officier chargé des sentences est complètement en extase devant cette incroyable machine,

Avis ; La métamorphose ; bien écrit il est a noté certains points qui auraient pu être améliorés. Ainsi, Grégor Samsa n'a pas peur de sa transformation quand il se réveille, à peine il se dit c'est un cauchemar, mais plus le temps passe et plus ce n'est visiblement pas le cas. Jamais il ne panique pour de bond. Le manque également de proportionnalité. Au début l'on pense qu'il est petit, taille normal pour un cafard, puis géant, puis de nouveau petit, bref on ne sait sur quel pied danser. Un troisième point reste le langage. Certes il parle animal, néanmoins personne ne peut dire qu'un insecte comprend le langage humain (si ça se trouve pour eux le langage humain est un tas de borborygmes.) Les mouvements de la bête ne sont pas terribles. A-t-il étudié le comportement de l'insecte avant d'écrire son roman ? Je ne sais pas. En tout cas il décrit très bien la vie du cafard que se soit vrai ou faux (malgré évidemment le fait que certains trucs sont inventées )
Points positifs, la description de la bête et du paysage ainsi que la fluidité du récit.; La description d'une machine de torture à un voyageur venu là en tant qu'invité. Si l'officier chargé des sentences est complètement en extase devant cette incroyable machine, il n'en est pas de même pour le fameux voyageur qui, plus le temps passe, plus il trouve cela immoral et inhumain. Mais pour quelle raison le voyageur est-il là ?
Avis,dans la colonie pénitentiaire: la description du la machine est très bien détaillée. Le récit est fluide, prenant, pas trop long. L'on sent l'humanité dans le voyageur et tout le contraire chez l'officier. L'on remarque également l'absurdité de la pénitence du pauvre soldat qui ira sur la machine. Une si petite faute pour un si sévère châtiment...cela laisse à réfléchir. Le soldat ne parlant pas la même langue que l'officier et le voyageur, essaye vainement de comprendre, comme tout bon humain qui se trouve confronté à quelque chose d'étrange le fonctionnement de la machine. Mais vite fait l'on comprend que l'officier est le dernier partisan de cette pratique inique, bien que d'autres cachent leur approbation. Ainsi on voit l'évolution des sentences dans le temps sans y être totalement plongé. Mais une fin incroyable, pleine de rebondissement. Du moins un.
Note ; 1er ; 13/20