Pyramides

Le Pharaon Teppicymon XCXVII est mort, son fils, jeune recrue à la Guilde des Assassins à Ankh-Morpork va devoir prendre la relève, sous la vigilance du grand prêtre Dios et de ses Rites et Rituels (et autres cérémonies), et à ce titre, décide de créer la plus grande pyramide jamais construite sous la vigilance du plus grand architecte et de ses fils...

Bien dans un premier temps, il est indéniable que le résumé n'a pas l'air consistant, sauf quand on considère que c'est Pratchett qui l'a écrit. Bien, après quelques années sans achat de cet auteur que j'aime bien, avec des hauts et des bas bien sûr, j'en ai acheté 2. Pyramides et Strate-a-Gemmes. Commençons donc par Pyramides, 7eme tome de la saga, qui ne suit pas forcément, avec cette fois la religion et ses rites dans la ligne de mire de notre satire en chef qui s'en donne à coeur joie avec son lot de magie, de personnages atypiques et psychédéliques, de chameau, d'assassins, et évidemment des dieux, un sacré mélange explosif, détonnant qui en vaut le coup d'oeil et son pesant d'or et l'un des meilleurs pour moi tant les rebondissements sont sérieux (pas forcément cousus de fils blancs car Pratchett est loin de ça) et surtout ce côté psychédélique et décalé à tout bout de champ mais bizarrement qui n'est pas redondant ni trop lourd qui fait qu'on suit notre héros Teppi très facilement et avec de grands sourires pour ne pas dire quelques éclats brefs.
Bref vous l'aurez compris; à lire