Conquête du Mexique-Hernan Cortes
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Conquête du Mexique-Hernan Cortes
Encore une fois même s'il ne s'agit pas d'une bio...il s'agit d'un témoignage vif
Cette fois, c’est du point de vue de Cortes en personne que le récit, l’aventure, la conquête est narrée, dans des missives adressées à Carles Quint…Ce qui permet, pour ceux qui ayant lus Diaz Del Castillo de retrouver évidemment (quasiment au mot près, du moins dans la première lettre), les événements narrés, jusqu’à la prise de Mexico…après ça change un peu plus et l’on voit les difficultés de la conquête notamment par des Espagnols égocentriques qui auront causés plus de mal de douleur et de violence (Velasquez) loin de ce que voulait et désirait Cortes…Or Velasquez est arriviste, opportuniste et aura dénigré et dénoncé ignominieusement des torts (corruptions, traitrises, vols), de Cortes au Roi –Empereur, alors que c’est surtout l’inverse, et Charles Quint bizarrement écoutera plus Velasquez, allez savoir pour quoi…mais bon, on voit ainsi la manière de pensée et d’agir de ce personnage finalement décrié plutôt à tort (si l’on refait le suivi et qu’on mêle toutes les infos, n’oublions pas non plus que Del Castillo à quand même critiqué Cortes donc je dirai que son récit est intègre) .
Du reste , chaque missive est quand même hyper longue, de véritables romans mais vu l’écriture fluide (le traducteur en tout cas), elles sont vivantes et nous entraînent vraiment dans cette épique aventure.
Cette fois, c’est du point de vue de Cortes en personne que le récit, l’aventure, la conquête est narrée, dans des missives adressées à Carles Quint…Ce qui permet, pour ceux qui ayant lus Diaz Del Castillo de retrouver évidemment (quasiment au mot près, du moins dans la première lettre), les événements narrés, jusqu’à la prise de Mexico…après ça change un peu plus et l’on voit les difficultés de la conquête notamment par des Espagnols égocentriques qui auront causés plus de mal de douleur et de violence (Velasquez) loin de ce que voulait et désirait Cortes…Or Velasquez est arriviste, opportuniste et aura dénigré et dénoncé ignominieusement des torts (corruptions, traitrises, vols), de Cortes au Roi –Empereur, alors que c’est surtout l’inverse, et Charles Quint bizarrement écoutera plus Velasquez, allez savoir pour quoi…mais bon, on voit ainsi la manière de pensée et d’agir de ce personnage finalement décrié plutôt à tort (si l’on refait le suivi et qu’on mêle toutes les infos, n’oublions pas non plus que Del Castillo à quand même critiqué Cortes donc je dirai que son récit est intègre) .
Du reste , chaque missive est quand même hyper longue, de véritables romans mais vu l’écriture fluide (le traducteur en tout cas), elles sont vivantes et nous entraînent vraiment dans cette épique aventure.
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