Mirage (avec de Brul)

Où l'on retrouve le mercenaire à la solde de la CIA, Juan Cabrillo aider un ami russe que l'on vient d'enfermer dans l'une des pires prisons qui soit. Mais à peine libéré, touché par une balle et expirant il confie quelques mots...A Juan, voulant venegr sa mort, de retrouver ce qu'à voulu signifier son vieil ami.
Afrique et Chine seront donc les deux continents où notre ami va voguer avec son magnifique navire tantôt marchand tantôt de guerre, sur les traces d'une invention sensée être perdue à tout jamais...et sa route sera pavé de cadavres...jusqu'à la vengeance finale un peu tiré par les cheveux pourrait-on penser mais à l'heure actuelle, au vu des dernières découvertes totalement plausible...Hélas, en dire plus serait égal à spoiler le sujet...
Si l'on retire toutes les éternelles capacités tout à la fois improbables et plausibles du bâtiment espion, n'en demeure pas moins que l'aventure se laisse lire d'une traite avec, encore une fois, un sentiment de déjà vu, lu, qui, à l'instar des Tombes d'Attila ne retire en rien la saveur de cette éventuelle relecture. Rapide, fluide, concis, pour ceux qui suivent les aventures du mercenaire marin à la prothèse ce tome-ci aura un léger changement dans sa trame narrative ou plutôt fictive...Si le navire sert dans les deux cas (Action espionnage et Marchand), le rôle technologique de celui-ci n'en sera que peu utilisé, sans grande nouveauté autre que des drones et un hélicoptère manœuvrable a distance ainsi qu'un troisième bonus sympa, le reste n'étant que physique, physiologique et bien sûr marin, avec le côté plongée sous-marine inévitable ainsi qu'une bonne petite historie sagement réinventée et rééimaginée par les auteurs sur le non moins célèbre Tesla.
Note; 18/20