Emoragie de Brain Salad

Genre; magicogore
Résumé; Lorena, punk désabusé plongée dans son propre monde musical underground métal d'usine (en fait c'est marrant comme le métal à vu un nombre considérable de petits...qui ne veulent strictement rien dire...il y a que QUELQUES SOUS GROUPES, quant au métal...c'est juste du hard rock...Metallica eux mêmes se considérant comme des hard rockeur...c'est dire) voit sa vie la quitter lors d'une tragique rencontre lors d'un périple nocturne avec...des mutants...et la voila qui ressuscite sous le commandement de la société Isis...mais qui est isis et qui se trame derrière Isis...peu importe pour la jeune femme désireuse de se venger...surtout quand elle apprend que ses parents connaissent également le monde magique dans lequel désormais elle va vire...Car sous la façade terrestre et bien humaine, il existe une autre société, plus sombre plus gore aussi, dépravée...magique...
Avis; La vengeance est-elle un plat qui se mange froid? pas vraiment ou si peu. Emoragie (un petit jeu de mot avec Emo, encore une sous catégorie de métal, du côté gothique, punk... mais bref passons), nous lance entre réalité et fiction...ou les mutants côtoient les êtres humains sans que ceux-ci ne s'en rendent compte...Bon de cela, Green, Hamilton, et allons-y, Fuentelaba, si ce n'est d'autres l'ont déjà exploités...maintenant, puisqu'on est dans une section gore...et bien on rajoute des touches de gore. D'hémoglobines...D'actions...d'apparitions...quelques doses d'humour par ci par là...oun scénario explosif et rapide...et une fin peu surprenante en fin de compte...le cocktail explosif gore ne m'a guère emballé sur ce coup -là -mais après tout on ne peutpas toujours aimer...Encore une fois, niveau texte et propos, récit narratif, il n'y a rien à redire...mais l'histoire ne m'a guère motivée. Peut-être à cause du mélange avec Aleister Crowley, la Golden Dawn...pas assez de renseignements sur l'individu( m'en fou, perso j'en ai plein et ça viendra en son heure peut être en 2015)...on balance Crowley, quelques...méfaits et puis c'est tout, sans savoir que Crowley, outre le plagiat de texte sacré, remixé à sa dose, a basé sa 'magie' sur le tantrisme...il y a aussi ce monde...cet entre monde pourrait-on dire qui, un peu mieux exploiter pourrait donner quelques choses...Peut être dans un autre tome...(enfin...), il est évident qu'en 150pages c'est ardu de développer (quoiqu'en squizzant certaines scènes peu utiles, pourquoi pas). ..et Isis enfin...Voila trois points qu'il serait bon de développer dans un éventuel second tome (même si les héros ne seront pas les mêmes).
Note; 15/20 (ouai je sais pour quelqu'un qui n'a pas trop aimé c'est du haut, mais j'aime bien le contexte, le récit fluide malgré tout et les événements qui s'enchainent...)