L'espionne du Grand Lama de Gustave Le Rouge
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L'espionne du Grand Lama de Gustave Le Rouge
Comme je le répète sans cesse, j'essaye d'avancer un max de livres appartenant à mes parents afin de savoir si je les conserve ou pas (en ce cas ils les rejoindront dans le sud) afin de libérer de la place pour le futur réaménagement. Ici donc, pendant les vacances, place à un livre colonialiste, ou plutôt durant une époque troublée dont l'Angleterre et la France sont au coude à coude pour assoir leur domination sur la Chine, non sans grande difficulté...
Ici on se place dans un contexte romanesque, et lyrique, qui omet sciemment les véritables affres se contentant surtout de jouer sur la pseudo aventure...Très manichéen, le Bien et le Mal, anglais=Mal évidemment, représentés par Timohty Framm et son acolyte âme damné (et âne baté) Joel...tenez vous bien...Murdock...
Quant à nos héros, qui viveront tragédie/drame sur tragédie/drame l'ingénieur Dubruil, un ami Georges Fromentin et son cousin foufou naif Jean cascaret ainsi que la traditionnelle Donzelle de ce genre d'ouvrage, Germaine...
Alors quid de l'histoire? Dubreuil père a perdu sa fille ainée assurément capturée et morte, et promise à Georges qui journaliste assez célèbre ou peu s'en faut se rabat sur Germaine (allons donc c'est vrai qu'à l’époque les cultures et les moeurs étaient un peu différentes)...mais voila t-y pas que Jean s'éprend de la damoiselle...et un ami, perdu de vue depuis longtemps que Dubreuil aurait sauvé durant sa prime jeunesse lui fait part d'une petite fortune...pour aller développer une mine pouvant rapporter gros...évidemment peu de minutes après que la petite exploitation familiale ayant du mal à fonctionner mais apportant un peu de sous ne soit attaquée, pillée et ravagée!
Alors voila nos héros qui s'en vont et devront affronter moult danger représentés par des bandits, des pirates mais pas que...Car Framm rôde, inlassablement et jouera les pires tours aux Français...Fort heureusement, parmi le convoi du Bien se trouve un jeune tibéthain très intelligent, très rusé et qu'au cours de leur parcours, ledit convoi croise la route d'un étrange convoi dont le palanquin est fermé par des rideaux...
Ça peut paraitre longuet comme récit et d'aucun comme Vernes, Dumas, ou d'autres auraient pu en faire un livre véritablement aventureux car en l'espèce tout y est, l'infâme traître, les gentils, les pirates/brigands, les espions, les coups tordus, la méfiance, nan sérieux 400 pages facile pour du London, mais voila que non, c'est a peine 200pages et qui à défaut de se lire rapidement est rapidement catalogué car on n'a aucun doute sur le mystérieux Palanquin, le côté niais ressurgit promptement mais il le fallait bien pour conclure l'histoire et on sait que monsieur Framm est le pourri de l'affaire, donc sans sourciller...pas de surprise réelle...Et je ne parle même pas de la romance se développant cousue comme du fil blanc...Evidemment pour l'époque et dans ce genre d'histoire, Germaine est a la fois la fille intelligente, mais également romantique et surtout; UNE FEMME donc voila le rôle qu'elle a avec parfois une idée ingénieuse et le courage féminin lorsqu'il le faut mais aussi une naïveté extrême...et une sensibilité exacerbée propre à ce genre de récit...
Livre d'été, de gare (en fait d'une petite heure ou deux dans le jardin) qui n'a pas été excellent en soit et qui pourtant avait les capacités à être plus convainquant...
Ici on se place dans un contexte romanesque, et lyrique, qui omet sciemment les véritables affres se contentant surtout de jouer sur la pseudo aventure...Très manichéen, le Bien et le Mal, anglais=Mal évidemment, représentés par Timohty Framm et son acolyte âme damné (et âne baté) Joel...tenez vous bien...Murdock...
Quant à nos héros, qui viveront tragédie/drame sur tragédie/drame l'ingénieur Dubruil, un ami Georges Fromentin et son cousin foufou naif Jean cascaret ainsi que la traditionnelle Donzelle de ce genre d'ouvrage, Germaine...
Alors quid de l'histoire? Dubreuil père a perdu sa fille ainée assurément capturée et morte, et promise à Georges qui journaliste assez célèbre ou peu s'en faut se rabat sur Germaine (allons donc c'est vrai qu'à l’époque les cultures et les moeurs étaient un peu différentes)...mais voila t-y pas que Jean s'éprend de la damoiselle...et un ami, perdu de vue depuis longtemps que Dubreuil aurait sauvé durant sa prime jeunesse lui fait part d'une petite fortune...pour aller développer une mine pouvant rapporter gros...évidemment peu de minutes après que la petite exploitation familiale ayant du mal à fonctionner mais apportant un peu de sous ne soit attaquée, pillée et ravagée!
Alors voila nos héros qui s'en vont et devront affronter moult danger représentés par des bandits, des pirates mais pas que...Car Framm rôde, inlassablement et jouera les pires tours aux Français...Fort heureusement, parmi le convoi du Bien se trouve un jeune tibéthain très intelligent, très rusé et qu'au cours de leur parcours, ledit convoi croise la route d'un étrange convoi dont le palanquin est fermé par des rideaux...
Ça peut paraitre longuet comme récit et d'aucun comme Vernes, Dumas, ou d'autres auraient pu en faire un livre véritablement aventureux car en l'espèce tout y est, l'infâme traître, les gentils, les pirates/brigands, les espions, les coups tordus, la méfiance, nan sérieux 400 pages facile pour du London, mais voila que non, c'est a peine 200pages et qui à défaut de se lire rapidement est rapidement catalogué car on n'a aucun doute sur le mystérieux Palanquin, le côté niais ressurgit promptement mais il le fallait bien pour conclure l'histoire et on sait que monsieur Framm est le pourri de l'affaire, donc sans sourciller...pas de surprise réelle...Et je ne parle même pas de la romance se développant cousue comme du fil blanc...Evidemment pour l'époque et dans ce genre d'histoire, Germaine est a la fois la fille intelligente, mais également romantique et surtout; UNE FEMME donc voila le rôle qu'elle a avec parfois une idée ingénieuse et le courage féminin lorsqu'il le faut mais aussi une naïveté extrême...et une sensibilité exacerbée propre à ce genre de récit...
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