Galilée de Claude Allègre
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Galilée de Claude Allègre
C'est ma période grand personnage plus ou moins incompris, mais très connus, réhabilités ou non par l'Eglise, tel Galilée (bien que fort tard), ainsi donc prochainement se verra arriver et lus Léonard de Vinci, Copernic, Magelan , Flamel ou encore CHampolion Vidocq (et actuellement Lucullus, visiblement connu mais que je ne connaissais pas, pas même la célèbre soit-disant phrase; ce soir Lucculus dîne chez Lucculus...mais propre aux restaurateurs...)
En l’occurrence ce livre concerne Galilée, mais cet biographie sera très limitée et très restreinte car le but, avant tout,d e l'auteur est de tenter de se créer un personnage plus ou moins fictif d'avocat de la défense, du diable, en la personne d'un réel ami proche de ce grand personnage. Le but est donc avec les connaissances et les moyens du bord, restant au plus près de la réalité, de faire en sorte de prendre la défense de Galilée devant le Grand Tribunal et l’Inquisition donc. Mais comme le dit Allègre avec les zones d'ombres, quelques suppositions et trous dans l'histoire qu'il a su/du combler en fiction.
Malgré tout, avec brio (bien que considérant sous le lecteur comme un abruti en disant, "je rappelle que Caspelli"-personnage qu'il incarne et existant réellement mais n’ayant jamais été défenseur de Galilée puisque n'en ayant pas eu, "est moi". Oui On sait merci. Pas la peine de le dire 100fois...) Allègre parvient donc à ce but, non sans digresser parfois, avec en plus le réquisitoire d(abord fictif puis réel de l'Inquisition ainsi qu'en annexe la réhabilitation, fort longue et ennuyeuse, de Jean Paul II quelques siècles plus tard...
En fait, ce qu'on passera sous silence sera son enfance (et encore dans le plaidoyer on parle de ses parents, enfants et femme) et sa mort, mais sa vie sera largement commentée (et dans l'introduction et dans le discours du vrai-faux ami avocat)
Le récit en soit est très court, se laisse lire rapidement mais reste intéressant et original dans sa façon d'être mené.
En l’occurrence ce livre concerne Galilée, mais cet biographie sera très limitée et très restreinte car le but, avant tout,d e l'auteur est de tenter de se créer un personnage plus ou moins fictif d'avocat de la défense, du diable, en la personne d'un réel ami proche de ce grand personnage. Le but est donc avec les connaissances et les moyens du bord, restant au plus près de la réalité, de faire en sorte de prendre la défense de Galilée devant le Grand Tribunal et l’Inquisition donc. Mais comme le dit Allègre avec les zones d'ombres, quelques suppositions et trous dans l'histoire qu'il a su/du combler en fiction.
Malgré tout, avec brio (bien que considérant sous le lecteur comme un abruti en disant, "je rappelle que Caspelli"-personnage qu'il incarne et existant réellement mais n’ayant jamais été défenseur de Galilée puisque n'en ayant pas eu, "est moi". Oui On sait merci. Pas la peine de le dire 100fois...) Allègre parvient donc à ce but, non sans digresser parfois, avec en plus le réquisitoire d(abord fictif puis réel de l'Inquisition ainsi qu'en annexe la réhabilitation, fort longue et ennuyeuse, de Jean Paul II quelques siècles plus tard...
En fait, ce qu'on passera sous silence sera son enfance (et encore dans le plaidoyer on parle de ses parents, enfants et femme) et sa mort, mais sa vie sera largement commentée (et dans l'introduction et dans le discours du vrai-faux ami avocat)
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